English version *** La version française suit ***
Negotiations set to resume with CRA as strike votes continue.
As strike votes for more than 35,000 PSAC-UTE members working at the Canada Revenue Agency (CRA) near completion, PSAC-UTE and CRA have agreed to resume negotiations with the assistance of a third-party mediator to reach a fair contract for workers. Talks are scheduled for April 17-20.
“The clock is ticking on a potential strike,” said Union of Taxation Employees National President Marc Brière. “Workers are telling the government loud and clear during strike votes they’re willing to fight for a fair contract that keeps up with rising costs and improves our workplaces.”
Our bargaining team contacted CRA to resume negotiations as early as April 11, but the employer took the position that they wished to meet with the assistance of a mediator, who was not available until April 17.
Our bargaining team made it clear we’re ready to negotiate – with or without a mediator – and expects CRA to come to the table prepared to address core issues including fair wages, telework and remote work, job security and work-life balance.
PSAC-UTE launched strike votes in January after Canada Revenue Agency refused to respond to our wage proposals and continued to hold to major concessions at the bargaining table.
Tens of thousands of PSAC-UTE members have registered for ongoing strike votes that end April
“The pressure our members continue to put on the employer is working.” said Mr. Brière. “There’s no doubt our goal is to reach a fair contract at the bargaining table, but CRA needs to
come to the bargaining table ready to negotiate in a meaningful way, with a mandate that makes sure workers don’t continue to fall behind.”
Version française *** The English version precedes ***
Reprise des négos avec l’ARC durant les votes de grève
Alors que les votes de grève pour plus de 35 000 membres de l’AFPC-SEI travaillant à l’Agence du revenu du Canada (ARC) tirent à leur fin, l’employeur et le syndicat ont convenu de reprendre les pourparlers avec l’aide d’un médiateur du 17 au 20 avril afin de conclure une entente juste et équitable.
« La possibilité d’un débrayage imminent est bien réelle », affirme Marc Brière, président national du Syndicat des employé-e-s de l’Impôt . « Que le gouvernement se le tienne pour dit : nos membres sont prêts à voter pour la grève afin d’obtenir de meilleures conditions de travail et des salaires qui tiennent compte de l’inflation. »
Notre équipe de négociation a communiqué avec celle de l’ARC dans l’espoir de reprendre les pourparlers dès le 11 avril. L’employeur a répliqué qu’il souhaitait recourir à la médiation, mais aucun médiateur n’était disponible avant le 17 avril.
Notre équipe de négo a fait savoir à l’employeur qu’elle est prête à négocier – avec ou sans médiateur – et qu’elle s’attend à ce qu’il soit lui-même prêt à discuter des grandes préoccupations des membres : salaires équitables, télétravail et travail à distance, sécurité d’emploi et conciliation travail-vie personnelle.
L’AFPC-SEI a entamé les votes de grève en janvier après que l’ARC a insisté pour lui arracher d’importantes concessions et refusé de donner suite aux revendications salariales des membres.
Des dizaines de milliers de membres de l’AFPC-SEI se sont inscrits aux votes de grève, qui se termineront le 6 avril.
« Les pressions que nos membres continuent d’exercer sur l’employeur portent fruit,» ajoute M. Brière. On espère vraiment conclure une entente juste et équitable à la table de négo, mais
l’ARC doit revenir négocier de bonne foi, avec un mandat qui évitera de faire en sorte que nos membres continuent de s’appauvrir.»